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LUNDI
28 mars
SEMAINE 9
VENDREDI
29 novembre
Pour aller plus loin...
Lisez Ellen G. White, « La pierre de touche », p. 51-58 dans
Le meilleur chemin
.
« Il est des personnes qui ont appris à connaître l’amour et lepardonde Jésus-Christ, et qui
désirent sincèrement être des enfants de Dieu ; toutefois, elles voient les imperfections
de leur caractère et les insuffisances de leur régénération par le Saint-Esprit. Je leur
dirai : Ne vous laissez pas abattre. Nous devrons souvent nous prosterner aux pieds
de Jésus pour y venir pleurer sur nos manquements et nos erreurs, mais ce n’est
pas une raison pour nous laisser aller au découragement. Même si nous sommes
vaincus par l’ennemi, nous ne sommes pas repoussés, délaissés ni rejetés par Dieu.
Non ; Jésus-Christ est à la droite de Dieu, et il intercède en notre faveur. […] Il
désire vous ramener à lui et voir reproduites en vous sa pureté et sa sainteté. Si seulement
vous consentez à vous remettre entre ses mains, celui qui a commencé en vous la bonne
œuvre la perfectionnera jusqu’au jour de Jésus-Christ. Priez avec plus d’ardeur ; que
votre confiance soit plus implicite. A mesure que nous nous défions de nos propres
forces, apprenons à nous confier en celles de notre Rédempteur, et nous glorifierons
celui qui est notre vie et notre joie» — Ellen G. White,
Le meilleur chemin
, p. 57.
À MÉDITER
1. Pensez à Daniel 2 et à la manière dont Daniel, il y a des milliers d’années, a prédit
avec autant de précision l’ascensionet la chute des empires, allantmême jusqu’àdécrire
(demanière très précise) ladésunionde l’Europemoderne.Comment apprendre à tirer
du réconfort de cette prophétie, qui nous montre avec tellement de puissance, même
dans le chaos de ce monde, que Dieu sait tout ce qui arrive et qu’il l’a même prédit ?
2. Dieu sait tout de nous. C’est réconfortant et cela nous donne un sentiment de
sécurité et l’assurance qu’il prend soin de nous.
Maintenant, ainsi parle le Seigneur,
celui qui te crée, ô Jacob, celui qui te façonne, ô Israël : n’aie pas peur, car j’ai assuré ta
rédemption. Je t’ai appelé par ton nom : tu es à moi !
(Es 43.1). Comment assurer les
autres de la présence et des soins deDieu quand ils traversent des crises émotionnelles,
relationnelles, sociales, ou financières ?
3. Attardez-vous davantage sur la question de la leçon demercredi, sur le fait qu’Esdras
ne voulait pas appeler le roi à l’aide car il craignait que ses paroles sur la protection de
Dieu ne paraissent creuses. Nous savons, par exemple, que Dieu nous guérit. Dans ce
cas, si nous allons voir unmédecin, est-ce que cela montre unmanque de foi envers sa
capacité à nous guérir ? Discutez de cette question en classe.